Timbres
Abris d’animaux
Chaque enfant sait que la plupart des oiseaux font des nids et que les renards se cachent dans un terrier. Mais où gîtent les martins-pêcheurs? Et qu’en est-il de la demeure des bourdons? Les timbres spéciaux «Abris d’animaux» nous dévoilent les refuges de quatre animaux différents.
Section Contenu riche

C’est l’escargot des bois qui ouvre la marche. Transportant toujours sa maison sur son dos, il est représenté ici sur un tapis de mousse. Il orne un timbre destiné au Courrier B, ce qui est aussi un clin d’œil à la «vitesse lente».
Pour la valeur de taxe Courrier A, c’est le martin-pêcheur qui a été choisi. Ce superbe oiseau creuse sa cavité de nidification dans des parois argileuses ou sablonneuses verticales ou légèrement en surplomb situées à proximité de rivières ou de plans d’eau. Le mâle et la femelle unissent leurs efforts pour percer des galeries de jusqu’à un mètre de long.
Contrairement à l’idée reçue, les bourdons ne confectionnent pas de rayons, mais construisent leur nid dans des endroits tels que des abris de souris abandonnés, qui peuvent se trouver à une profondeur de jusqu’à 1,5 mètre sous terre. Ce timbre spécial montre différentes cellules accueillant les œufs et les larves à différents stades ainsi que d’autres contenant des réserves de miel.
Dernier invité de la série: le muscardin, qui loge dans un véritable «nid-cocon» aménagé au milieu des broussailles. Animal nocturne, il passe ses journées à dormir. En restant des heures dans un état quasiment léthargique, il économise son énergie.

Informations techniques
Vente
Philatélie: du 24.2.2022 au 31.3.2023 ou dans la limite des stocks disponibles
Filiales: du 3.3.2022 au 31.3.2023 ou dans la limite des stocks disponibles
Validité
Illimitée dès le 3.3.2022
Impression
Offset, quadrichromie; Joh. Enschedé, Haarlem, Pays-Bas
Formats
Timbres: 28 × 33 mm
Carnet de timbres: 170 × 76 mm
Papier
Papier pour timbres blanc, avec azurant optique, autocollant, sur support papier, 196 gm²
Dentelure
Découpe ondulée sur 4 côtés
Conception
Oreste Vinciguerra, Kriens