«À cœur vaillant, rien d’impossible!»

En général, le traitement des colis déposés et des envois faisant l’objet d’une invitation à retirer un envoi ne pose aucun problème dans les filiales en partenariat. Parmi ces dernières, il en existe néanmoins pour qui les volumes sont comparativement très hauts, notamment dans la filiale en partenariat de Glis, où jusqu’à 20 colis et envois faisant l’objet d’une invitation à retirer un envoi peuvent affluer chaque jour. C’est aussi le cas à Uitikon-Waldegg, commune zurichoise située sur le flanc ouest de l’Uetliberg, où il y en a 10 à 20 par jour − et parfois bien plus.

Le manque de place − savoir gérer les colis avec créativité

C’est la place disponible qui fait souvent une grosse différence. À Uitikon-Waldegg, il y a certes moins d’envois qu’à Glis. Car s’il y a suffisamment d’espace de stockage en Valais, ici, on est à l’étroit. La responsable de filiale Melanie Helfenstein nous explique: «Quand il le faut, on stocke tout simplement les colis gros et lourds à même le sol. Ça marche très bien comme ça.»

Assez de personnel pour tout maîtriser

Dans ces deux filiales en partenariat, le personnel est bien organisé. À Glis et Uitikon-Waldegg, le personnel peut traiter les envois de manière fiable − même dans les moments de stress. Face à ce genre de situation, les responsables de la filiale de Glis, Sandra et Martin Philipona-Wyder, adoptent une position claire: «À cœur vaillant, rien d’impossible!» Ils insistent sur le fait que leur équipe est bien formée et peut faire face au stress. «Nous servons les clientes et clients les uns après les autres et essayons de ne pas nous laisser déborder», confie le couple.

La Poste apporte son aide si besoin

La coopération avec les collaboratrices et collaborateurs de la Poste qui accompagnent la filiale en partenariat joue aussi un rôle important. Ils peuvent apporter leur aide si besoin − en s’occupant par exemple de problèmes avec le transporteur ou, s’il le faut, en organisant des transports spontanés. Les deux filiales sont du même avis: «Cette collaboration fonctionne bien.»

Conseils pour d’autres filiales en partenariat

Que conseillent Glis et Uitikon-Waldegg à leurs collègues dans le cas où ils seraient soudain submergés par une avalanche d’envois? Ici, tout le monde est d’accord: il s’agit de garder son calme et son sang-froid. Mais aussi, ajoutent Sandra et Martin Philipona-Wyder: «Ne jamais montrer à la clientèle que ça chauffe.»

Ton avis nous intéresse

Toi aussi, est-ce que tu rencontres, dans ta propre filiale, des difficultés dans le traitement des colis et des envois faisant l’objet d’une invitation à retirer un envoi? Comment fais-tu face à ce genre de situation? Quels sont tes conseils et astuces? Nous nous réjouissons de lire tes commentaires.

Jusqu’à 120 colis par jour: l’espace de stockage de la filiale en partenariat de Glis.

© Michael Harnisch